Florilège #11 : où le monde s’effondre et renaît
Au téléphone, Eliness me demande « tu n’écris plus, que se passe-t-il ? », mais je ne réalise que le soir devant mon PC qu’effectivement, ça va faire presque un mois que je n’ai rien publié.
Au téléphone, Eliness me demande « tu n’écris plus, que se passe-t-il ? », mais je ne réalise que le soir devant mon PC qu’effectivement, ça va faire presque un mois que je n’ai rien publié.
Des films d’horreur (évidemment, mais pas seulement), des livres, de la musique et… bah si, c’est de la musique, mais bref, tu verras.
Recueil chronologique et sans trop de digressions (ça signifie que tu passeras sans doute pas à côté d’écritures à la petite semaine).
Je te préviens, j’en ai rien à faire, ça va être très long (j’ai voulu chronométrer mon temps de lecture et Moya est venue s’installer comme une fleur pile devant moi et m’a donné des coups de tête dans les mains pour avoir des câlins donc je ne sais pas.)
Vacances 2025, je ne sais pas qui d’Angoisse ou Sérénité est tombée à l’eau (très probablement, c’est moi, les deux autres se portent très bien.)
Mon été et moi allons très bien, j’ai juste renoué avec de vieilles amours.
(6 bis parce que la dernière fois je suis passée de 4 à 6 et voilà c’est tout décalé ça m’énerve, et Juing parce que : « En moyen français, il s’écrivait « juing », m’apprend Wikipédia, et que c’est marrant.)