Isatunoll
Où commence la mer, où finit la terre, quelque part rencontrées dans le vent, sable et embruns mêlés et toi dedans pris dans les courants, peau et pensées érodées, les veines tracent le vent creuse des abîmes inversés, tu fuis.
Où commence la mer, où finit la terre, quelque part rencontrées dans le vent, sable et embruns mêlés et toi dedans pris dans les courants, peau et pensées érodées, les veines tracent le vent creuse des abîmes inversés, tu fuis.
Tout de même – consolider, acte I : ma posture de formatrice en BTS est « impeccable ». Let’s move on.
S’il y a un truc dans ma discothèque qui fasse pleurer de rire ma frangine, c’est bien Nachtblut.
Ces morceaux qui te restent toujours. T’as l’impression qu’ils parlent pour toi. Ce truc qui mélodie à l’intérieur de toi à un rythme que tu te figures être le tien, alors que c’est l’inverse : c’est toi qui t’épelles au fil de notes étrangères. Pour une raison qui t’échappe, cette chanson, elle a défini tes contours.