Isatunoll
Où commence la mer, où finit la terre, quelque part rencontrées dans le vent, sable et embruns mêlés et toi dedans pris dans les courants, peau et pensées érodées, les veines tracent le vent creuse des abîmes inversés, tu fuis.
Où commence la mer, où finit la terre, quelque part rencontrées dans le vent, sable et embruns mêlés et toi dedans pris dans les courants, peau et pensées érodées, les veines tracent le vent creuse des abîmes inversés, tu fuis.
Quelques réflexions en réponse aux questions d’Eliness sur nos pratiques bloguesques.
Franchement vu le sujet, je trouve que la « Muse des chants nuptiaux et de deuil et de la pantomime » est la plus pleine d’auto-dérision et de vérité à la fois que je puisse trouver. Je note toutefois que Thalie, qui compose les deux tiers de mon prénom, est la muse de la comédie.